CRAZY, STUPID LOVE.
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 The Keynes ❝ moi je fais ce que je veux, où je veux et quand je veux !

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MessageSujet: The Keynes ❝ moi je fais ce que je veux, où je veux et quand je veux !   The Keynes ❝ moi je fais ce que je veux, où je veux et quand je veux ! EmptyJeu 23 Juin - 6:18

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Passer ses journées à la plage à la fin du mois de juin est une chose habituelle. Que l’on soit étudiant ou adulte, ce flux massif de personnes sur les plages est inévitable. Les uns ont tout juste fini leurs examens tandis que d’autres viennent prendre les rayons de soleil tant qu’ils le peuvent, pendant leurs pauses où à la fin de leur journée. Quoi qu’il en soit, la plage est un lieu très attirant, et ce phénomène annonce bien évidemment l’arrivée de l’été et des vacances. Bientôt certaines personnes ne décolleront même plus de cet endroit, y passant leurs nuits à faire la fête et leurs journées à dormir au soleil, pour ensuite se rendre compte qu’ils n’ont bronzé que d’un côté, mais peu importe puisque demain ce sera pareil et ils n’auront qu’à s’endormir sur l’autre côté. Pourquoi c’est comme ça ? Allez savoir .. C’est comme ça, c’est tout, et puis c’est ce qu’on aime. Cette après-midi, Rachel avait fait comme beaucoup d’autres et après avoir enfilé un bikini couleur vert pomme, un mini short en jean effilé ainsi qu’un débardeur large par-dessus, ses pas l’avaient guidée sur la plage au sable fin qui borde Sunset Boulevard. Il n’y a pas à dire, sentir ce sable fin glisser entre ses orteils lui faisait un bien fou. Elle qui était tout le temps occupée avec un évènement important à organiser ainsi que ses examens à corriger, ce dernier mois la belle brune avait eu très peu de temps libre, très peu de temps pour elle, alors rien que de voir tout ce monde sur cette plage, ça lui faisait le plus grand bien et elle afficha automatiquement un large sourire sur son visage. Quoi de mieux pour débuter l’été ?

Après s’être baladée une bonne heure toute seule, Rachel arriva au niveau du magasin de surf où son frère avait l’habitude d’aller, étant également un très bon prof pour ce sport. Je vous assure, parfois rien qu’à voir comment certaines filles dévorent son frère des yeux, elle a envie de les étriper. Non, William n’est pas de la marchandise, ce n’est pas un steak à manger tout cru ! Alors même si la plupart du temps elle se contrôlait, cela n’arrivait pas toujours non plus. D’ailleurs tout le monde se souviendra du jour où le voyant avec une fille pendue à son cou, une fille vraiment pas faite pour lui, Rachel s’était approchée d’eux et avait foutu une gifle à son frère, suivie d’une fausse crise de jalousie. Oui, elle s’était faite passer pour sa copine histoire de faire fuir cette fille. Et vous savez quoi ? William n’a jamais été aussi heureux de voir sa sœur jumelle débarquer dans ce rôle ! Elle l’avait tout juste enlevé d’un sacré poids, et ce sans avoir besoin de le lui demander. Et puis la mise en scène avait été géniale ! Il faut l’avouer, quand ces deux-là ont quelque chose en tête ou qu’ils sont partis dans un délire, il faut s’accrocher pour les suivre. Et si Rachel est parfois haineuse envers cette filles toutes accro à son frère, elles sont également jalouses d’elle, à cause de cette relation si fusionnelle qu’ils ont. Frères et sœurs, mais pas seulement .. meilleurs amis, confidents, copains, toujours en phase l’un avec l’autre. Même si cela reviendrait à être de l’inceste, certaines tueraient pour prendre la place de Rachel dans la vie de William.

C’est donc en pensant l’y retrouver que Rachel s’engouffra dans le magasin, fit la bise au vendeur qu’elle connaissait très bien et demanda après son frère. Il l’informa qu’il n’était pas là et qu’il était parti jouer au volley il y a trois heures, il serait donc dur pour elle de le retrouver à cet endroit-là après autant de temps. C’est un peu déçue et bredouille qu’elle quitta le magasin et se remit en marche le long de l’eau. Quelques pas plus loin et le regard perdu vers la digue, Rachel reconnut une silhouette très familière au loin. Et à vrai dire, il n’y avait qu’elle pour reconnaitre une crêpe étalée comme ça sur le sable. Non, pas de doute là-dessus, c’était bien son frère. Et même de si loin, elle pouvait deviner qu’il dormait à poings fermés. « Excusez-moi, je vous emprunte ceci … » dit-elle à un inconnu tout en prenant la casquette qu’il avait sur la tête. Ni une ni deux, peu importe les incompréhensions de l’inconnu derrière elle, elle se dirigea vers la mer et remplit la casquette d’eau. Tout en faisant attention de ne rien renverser, elle se faufila à travers le monde jusqu’à William qui dormait effectivement de pied ferme. « Réveille-toi crevette ! » lança-t-elle à l’adressé. Bien évidemment, celui-ci ne réagit pas. C’est donc un sourire machiavélique aux lèvres qu’elle reversa la casquette d’eau sur tout le corps de son frère. Bon, et bien maintenant, elle n’a plus qu’à … COURIR !
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William J. Keynes
« William J. Keynes »
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MessageSujet: Re: The Keynes ❝ moi je fais ce que je veux, où je veux et quand je veux !   The Keynes ❝ moi je fais ce que je veux, où je veux et quand je veux ! EmptyJeu 23 Juin - 12:41

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« Les jumeaux sont dans la plaaace »

L’été, le soleil, les vagues, les jolis corps dénudés de ces demoiselles et leurs micros bikinis… Voilà ce que j’aimais. Moi ? Un gros Loveurpeveramoureux ? Non là ça serait exagérer ou alors vous vous trompez de personne, car je n’aime qu’une seule personne … MOI ! Bon Ok j’arrête mes conneries. Sérieusement, on ne peut pas me qualifier d’ « amoureux de tout ce qui bouge » non, mon regard est attiré, mais je ne suis réellement amoureux que d’une seule personne : Serena.
Cette dernière, ayant eu mot de mon énorme coup de blues –mais ne connaissant pas la raison – avait débarqué hier soir, chez moi. Jusque là tout allait bien. Mais allez retenir une lionne quand elle a sous son nez un énorme steak bien juteux –et au bord du gouffre, soit, livré à lui-même dans cette jungle qu’est la vie.
Elle n’était partie que « ce matin » -si on peut dire que midi moins vingt soit encore le matin- en m’ayant tenu toute la nuit éveillé.
Malheureusement pour moi, ça tombait très mal, car j’avais une journée bien chargée qui m’attendait : Commander de nouvelles planches pour le club de surf, passer à l’université pour récupérer quelques dossiers de gars souhaitant intégrer l’équipe et aller à mon entrainement –être Quarterback est un véritable métier.

Tout ne me levant du canapé du salon de jardin je repensais à toutes ces emmerdes qui me tombaient sur le coin du nez, Elle était vraiment en ville …
Après deux cafés extra-corsé, une douche, et encore deux autres cafés, je me retrouvais derrière le volant de ma mustang, atone, une main posées sur le pommeau de vitesses l’autre sur le volant, qu’est-ce-que j’attendais là ?! Parfois il m’arrivait que mon cerveau donne des ordres sans que mon corps ne réagisse, ce qui était synonyme de TRES grande fatigue –surtout avec la furie qui m’avait rendue visite hier soir, l’état de ma chambre faisait office de témoin.

Il était tout juste midi et demi quand j’arrivais sur la plage, vêtu d’un short en jean, tenant mes tongs dans une main. Quelle douce et merveilleuse sensation que de sentir de sable entre mes doigts de pieds. Sentant quelque chose de lourd dans ma poche, je tâtais cette dernière et tombais sur mon portable … que je n’avais pas regardé depuis hier. J’allais m’en prendre plein la gueule. « Ouuuuh rien que vingt-quatre sms non lus et onze appels. Oh putain … Rho et puis ça me saoul » je finissais finalement par éteindre mon téléphone. Autant m’en prendre plein la gueule pour quelque chose. Le record de Rachel avait été cent quarante six messages en une journée –je vous passe les appels. Mais sincèrement, ça ne me dérangeais pas le moins du monde, on n’a pas tous les jours une sœur jumelle qui s’inquiète pour vous et qui vous aime comme si vous étiez vital à sa survie. C’est le cas pour moi, ma sœur est l’essence de ma vie, elle est cette flamme qui brûle en moi. Tous les scientifiques se posent tellement de questions quant à savoir comment les jumeaux fonctionnent et tout ce blabla, mais il faut être dans la peau d’une personne ayant un jumeau pour comprendre. Enfin bon, j’avais beau l’aimer de tout mon être, je savais que lorsqu’elle me tomberait dessus, ça allait faire mal, très mal.

Après être passé dans mon magasin favori pour commander les planches de surf je m’étais laissé tenter par deux charmantes jeunes filles qui avaient grand besoin d’un garçon dans leur équipe de volley. Fallait bien que je vole à leur rescousse. SUPERWILLIAAAM !

Puis je ne sais comment, je m’étais endormi sur la plage, oubliant tout ce que j’avais à faire … même mon entrainement, quoi qu’il ne fût pas trop tard … Non pas maintenant. J’aimais trop la sensation de chaleur sur mon corps, c’était tellement bon.

[…]

« Réveille-toi crevette ! » Cette voix me paraissait si lointaine mais si proche à la fois. Puis finalement tout fut l’limpide, comme l’eau avec laquelle on venait de m’asperger le corps. Je me réveillais en sursaut, le visage trempé d’eau salée, ne voyant rien. Mais je n’avais, en fin de compte, pas besoin de voir quelque chose, car je savais très bien qui se cachait derrière cette très mauvaise méthode de réveil : Rachel.
Je me levais d’un bond, plissais quelque peu les yeux afin d’y voir quelque chose et me jetai sur ma sœur qui se mettait déjà à courir. « Non mais tu ne perds pas une minute. Si je te choppe tu risques de boire la tasse une bonne centaine de fois, ESPÈCE DE … DE … RHA, VIENS ICI ! » lui criais-je tout en lui courant après. J’allais très vite la rattraper, ce n’était qu’une question de temps. « J’espère que tu es entrain de prier car tu vas tellement la boire cette eau que tu ne sentiras même plus ta langue … » j’éclatais de rire en voyant sa tête de « fautvraimentquejecoursavantqu’ilnemetteàprofitsamenace », je la connaissais très bien cette tête là, et je l’aimais tellement.

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MessageSujet: Re: The Keynes ❝ moi je fais ce que je veux, où je veux et quand je veux !   The Keynes ❝ moi je fais ce que je veux, où je veux et quand je veux ! EmptyVen 2 Sep - 21:44

Prendre des risques … C’est une des plus grandes choses de la vie, croyez-moi. Et miss Keynes vous dirait la même chose ! Honnêtement ! La vie ne serait pas la vie si elle n’était pas ce qu’elle est et si l’homme n’était pas amené à prendre des risques. Bon, bien évidemment, le risque a plusieurs niveaux. Enfin c’est ma théorie, mais je ne pense pas que vous serez nombreux à me contredire. Pour m’expliquer, un simple exemple : un pompier qui risque sa vie dans un incendie, c’est du risque de niveau cinq, tandis que la personne qui risque de mouiller son frère pendant qu’il dort paisiblement sur la plage, ça c’est du risque de niveau deux. Oui, de niveau deux quand-même, parce que tout dépend à qui on s’attaque ! Et quand on s’attaque à mister Keynes, le niveau de risque augmente considérablement. Qui a dit qu’il fallait absolument s’inscrire dans une salle de fitness pour faire du sport ? Mettez ces deux-là ensemble, et vous êtes parti pour une bonne heure de course, suivie d’un porté magnifique de la part de William, qui pourrait se servir du corps de sa sœur comme d’une barre d’altères avant de la mettre en sac à patate sur son dos et de la jeter à l’eau. Oui, voilà, du sport, et en toute simplicité ! Pas besoin d’aller payer des sommes gigantesques pour un équipement et un abonnement à la salle. Et je ne vous mens absolument pas sur les faits.

Revenons-en sur les faits. Rachel venait tout juste de renverser une casquette remplie d’eau froide sur la peau toute brune de son frère, endormi sur la plage. Consciente de ses actes, la jeune femme s’était aussitôt mise à courir dans une direction au hasard. Et elle savait pertinemment bien que le peu d’avance qu’elle avait pris sur la réaction de son frère ne lui servirait à rien. Après tout, ce n’était pas la première fois -ni la dernière- qu’elle réveillait son frère avec des manières peu communes. Quand ils étaient petits, elle l’avait même fait faire pipi au lit. Bah oui, on connait tous cette méthode où on trempe un doigt de l’endormi dans un vers d’eau glacée. Croyez-moi, ça marche à tous les coups ! Et je ne sais pas si cela peut vous rassurer, mais ce coup-là ne fut pas le pire. La petite Rachelle a plus d’un tour dans son sac ! « Non mais tu ne perds pas une minute. Si je te choppe tu risques de boire la tasse une bonne centaine de fois, ESPÈCE DE … DE … RHA, VIENS ICI ! » dit celui qui n’est même pas capable de porter des injures contre sa sœur. C’est pliée de rire que Rachel tentait tant bien que mal de maintenir le rythme, se faufilant entre les serviettes, écrasant les châteaux de sable et sautant même au-dessus des bronzeurs se trouvant sur son passage. Si elle continuait comme ça, ce serait la plage entière qui se retournerait contre elle. « Oui, c’est ça ! Comme si tu allais oser me noyer ! J’aimerais bien voir comment tu pleureras à mon enterrement ! Réfléchis quand tu lance des menaces gros beta !! » lança-t-elle à son tour à l’intéressé, qui ne tarda d’ailleurs pas une seconde à répliquer « J’espère que tu es entrain de prier car tu vas tellement la boire cette eau que tu ne sentiras même plus ta langue … ». Et Rachel riait à gorge déployée. Elle regarda une seconde derrière elle pour voir si son frère était loin d’elle, et cette minute d’inattention lui vaut la peine de perdre l’équilibre, s’étant pris les pieds dans une motte de sable. Mais ni une ni deux, la jeune femme se rattrapa sur ses deux mains et se redressa avant de continuer sa course. « Tu ne me fais pas peur Keynes !! Je me suis entrainée, c’est pas cette fois que tu m’attraperas ! » lui cria-t-elle, malgré la distance réduite qui les séparaient.


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