Circé Donovan

prénoms & nom → Circé Donovan.
date de naissance & âge → 25 octobre 1990.
famille & origine → 20 ans .
étude & job → Étude dans l'art, dessinateur/ Illustrateur.
groupe → FOLLOW ME, BITCH
caractère → Mon caractère, comme si vous avez besoin de le savoir. Enfin bon si vous insistez. Mon tempérament est assez dur à se farcir, soyons clairs et surtout sincères. Je suis de nature manipulatrice, même si j'ai une allure de jeune femme, calme, voire passive. Il ne faut pas se fier aux apparences, comme le dit si bien le proverbe. Je suis très impulsive, j'aime me battre, car oui je sais me battre. Rebelle, je me laisse vite emporter par mes sentiments, négatif plus souvent dû à mon impulsivité. Un caractère sauvage et non maniable. Je ne me laisse jamais faire par les petites pimbêches que je croise et encore moins les hommes avec un taux de testostérones accrus. J'ai tendance à vite les ramener sur terre. Oui je suis bagarreuse, même avec les hommes et fier de l'être. J'ai même étalé deux hommes une fois, oui j'adore me vanter de ce moment-là. Possessive, je ne supporte pas partager mon entourage avec d'autres que moi-même. Oui le monde m'appartiens, oh oui. J'ai également une sacrée répartie et rabaisser les gens avec leurs points faibles m'amuse encore plus. J'aime me rapprocher des personnes, même de mes pires ennemies (encore faut 'elle qu'elles sachent que je suis leur pire ennemie). Car, c'est la meilleure solution pour les anéantiras avec leurs points faibles. Oui je suis le genre de personnes solitaires, qui aime être seul. Mais qui n'arrête pas d'attirer le monde, à croire que je suis un journal intime ambulant.

Bref, je suis aussi dominatrice. Je ne supporte pas qu'on me donne des ordres. C'est plutôt moi qui en donne. Casser les gens est...mon passe-temps favori, surtout quand je n'apprécie pas les personnes là. J'aime également me venger. Oui je possède une nature rancunière, qui ne se laisse jamais dominer ou surtout laisser le dernier mot à autrui. J'aime attendre des jours, voire des années pour élaborer des plans assez machiavéliques, pour mes vengeances personnelles ... ou pas. Je suis très calculatrice et tous mes gestes sont calculés, pour la situation. Je possède un caractère assez fidèle, même si je suis une peste à l'état pur. Je ne supporte pas les hommes infidèles et je m'amuse à leur jouer de mauvais tours quand cela arrive. Charmeuse et capricieuse, quand je ne possède pas une chose que je veux, je fais le nécessaire pour l'obtenir. Par tous les moyens que je trouve. Même charnel. Je n'aime pas la concurrence et je fais le nécessaire pour l'évincer. J'ai tendance à idéaliser l'amour et surtout mes relations amoureuses. Quand je suis vraiment amoureuse, hein ! Inaccessible, il m'arrive de laisser miroiter un homme pendant des mois, ce qui a tendance à faire baisser les bras de mes prétendants. Apparence froide, je ne mâche pas mes mots, je lance beaucoup de pics, même si ça hérite. Je ne me laisse jamais aller à mes sentiments. Rare sont les personnes qui ont récolté un "je t'aime" de ma part. Et pour certains cela est devenu un vrai challenge. J'aime les relations fusionnelles, voire ambiguës. Je suis également une vraie commère quand il s'agit de récolter des informations et de les balancer, aux personnes qui ne faut pas. Renfermée, je ne divulgue jamais des informations sur ma vie privée à qui que ce soit. Cela a le don, d'éveiller la curiosité de certains. Et je reste toujours vague sur mon passé. Je l'est enterré et je pense bien le garder où il est. En espérant que celui-ci ne me rattrape pas plus top que prévus.

Joueuse, j'aime beaucoup faire des paris avec les hommes. Oui, car je l'est perds que très rarement. Le seul que j'ai perdu, c'était avec mon premier grand amour. Enfin, ça vous le verrait un peu plus tard. Mais j'ai quelques petites qualités, aussi, il ne faut pas croire. Je ne supporte pas le mensonge, vaux mieux rester francs, même si cela doit faire mal. Malgré cette apparence froide et machiavélique, je garde une part de sensibilité bien cachée. Mon visage étant expressif, cela se voit assez vite quand une chose me déplaît particulièrement. Enfin bon revenons à mes côtés, machiavélique. Je détiens parfois un humour assez noir, voire gore. J'aime également voir les têtes des personnes, quand je leur balance une bêtise du genre en pleine face. Comme on dit si bien. C'est tellement ... exaltant. Romantique comme toute jeune femme je le suis, j'aime qu'on me courtise. C'est simple, j'aime savoir que je plais et j'aime également savoir que je suis la concurrente de certaines. Question homme bien sûr. J'aime faire des entrées assez remarquées et me faire dévorer des yeux. Quoi ? Moi séductrice, oh grand dieu jamais... enfin si faut avouer je le suis. Je le suis, mais je ne me laisse pas facilement attraper. Je suis également timide, mais cette timidité je la cache avec mon côté froid, qui a tendance à rebuter pas mal d'hommes. Beaucoup aimerait m'approcher, mais n'ose pas, vu mon tempérament. Mon côté mystérieux et inaccessible a tendance à attirer le sexe opposé. Et parfois même les femmes, qui se disent que malgré cette apparence des choses croustillantes pourraient en sortir. Hélas, elles repartent toutes bredouilles, pour au final que je détienne moi-même les informations, pouvant les faire tomber de haut. Oui une vraie démone comme on dit si bien. J'attire pour enfin faire tomber.



relations → Mes relations ? Comme si j'en avais dix mille. Bref, en premier lieu il y a le beau Jason StandFord. Mon premier grand amour. Je l'ai connu quand j'avais 16 ans. Inaccessible comme toujours, il a tenté beaucoup de manœuvres pour que je sorte avec lui, mais cela finissait en un échec total. Puis il réussira à conquérir mon coeur, avec sa répartie légendaire. Que j'arrivais de moins en moins à maitriser. Notre relation débutée avec notre première fois, mon premier. Nous avions fait un pari. Comme toujours j'étais sûre de la gagner et je fuyais toujours mes sentiments à son égard. Mais ce fut un échec pour moi. Je savais qu'il m'aimait autant que je l'aimais. Nous restions ensemble pendant 3 ans. Lui ayant une bonne situation familiale, comparée à la mienne, c'est l'or de mes 19 ans que je me fiançais avec lui. Notre mariage était prévu, malgré le désaccord de ses parents et la mienne enthousiaste d'avoir trouvé un futur mari "péter de tunes" comme ils disaient si bien. Mais ayant peur du mariage je me suis enfouie. Je pense qu'à présent il est encore à ma recherche. Têtue comme il est-il fera tous pour me retrouver. Vous, vous demandez encore si je l'aime. Oui mon coeur lui appartiendra à jamais. .

Ma famille : celle que je préfère enterrée dans ce passé lamentable. Oui, car entre une maman qui s'amuse à voler les gens et même sa fille pour s'acheter des fringues. Franchement y a de quoi s'arracher les cheveux de la tête. Un père qui bat sa femme et sa fille, c'est génial aussi. Après, il ne faut pas s'étonner, pourquoi j'ai appris à me battre. Taekwondo, etc.. Mon père était une belle ordure aussi. Il était un dealer de la pire espèce. Enfin, il allait même jusqu'à prostituée sa femme, alors sa fille imaginée pas. Enfin heureusement que je suis passée à coter de ça. Oui, je passais mes journées la plupart du temps dehors. Donc, une famille équilibrée telle que celle-ci, ne donne pas envie de la revoir. Le seul regret que je porte sur mon coeur et qui devient lourd de jour en jour et celui d'avoir quitté l'homme de ma vie.

Eden Z. Grimes : Je suis tombée sur elle, alors que j'arrivais à peine dans cette ville. Nous, nous sommes de suite attendue à merveille. Elle a su comment prendre mon caractère. Et n'a pas cherché à me harceler de n'importe quelle manière pour savoir mon passé. Malgré que parfois je sens un certain ressentiment, elle aimerait que je lui dévoile une part de ma vie. Mais je ne le ferais pas. À part cela, nous faisons les 400 coups ensemble, nous étudions dans le même endroit, mes pas forcément dans la même classe. Dommage. Quand je vais mal, elle le sent. Et inversement. Quand une personne fait du mal à une de nous deux, cela part vite en chamaillerie. Car, nous n'aimons vraiment pas qu'on fasse du mal à l'une d'entre nous. Enfin, je ne sais pas si j'ai été claire. Nous sommes inséparables. Mais parfois mon caractère la fait halluciner comme elle dit si bien. Mon humour noir la désarme souvent, mentalement. Et ça nous fait beaucoup plus rire qu'autre chose. Quand une personne l'embête plus qu'autre chose, parfois je viens lui refiler un petit coup de main. Enfin, un grand, car, la personne s'en souvient des jours durant .

« don't tell me love is something you won't try again. »

Depuis quand êtes vous à BH et pourquoi y êtes vous ? → J'y suis arrivée depuis un an, j'ai décidé de partir de ma ville, pour des raisons personnelles. Telle que ma peur du mariage et des parents oppressants. Avide d'argent et surtout de vider les comptes bancaires de mon fiancé. Et oui je suis toujours fiancée par la même occasion. Il doit me rechercher encore, sinon il à baisser les bras. .
Quel est votre rêve le plus fou ? → J'espère toujours qu'il me pardonneras, de l'avoir quitter à 1 mois de notre mariage.
Quel est votre plus grande peur ? → Tomber sur une personne plus forte que moi ? Non je plaisante, elle existe pas. Que mon passé me rattrape et que mes peurs reviennent.
Quel est votre moyen de communication préféré ? → le langage du corps ? non je plaisante. Les sms..

« That's why you're so good for everybody. »

Ma mère est née dans une banlieue, ou personne ne voudrait y vivre personnellement. Fille d'une femme au foyer, n'ayant aucune autorité parentale et d'un père toujours abonné absent. Elle faisait sa vie comme elle le voulait. Sa mère vivait des aides et du peu d'argent que son mari ramener, quand ce n'était pas gâché dans de l'alcool dans des bars ou chez les prostituées. Oui apparemment on sort de ponce pour se mettre en pilâtes. Car, inconsciemment ma mère reproduisit la même chose, avec mon énergumène de père. À l'âge de ses 15 ans elle devenue volage et ce mis bien sûr avec mon père. La belle affaire, j'aurais voulu ne pas vivre du tout, que vivre dans une famille aussi ... Inhumaine qu'eux. Bref, elle tomba enceinte et pourtant je n'étais pas désirée. Après ma naissance, elle s'obligea à se marier avec le père de sa fille. À l'accouchement le père n'était pas venus et s'en foutait totalement, t'en qu'à elle... elle essayait de trouver des moyens pour rallonger ses vacances à l'hôpital, pour la nourriture. Dû aux aides, elle n'avait rien à payer encore une fois. Bref, ma vie ? Un calvaire. Je grandissais dans un appartement délabré, avec comme berceuse les cris de ma mère et de mon père. En train de se battre surement. Je n'étais pas en âge de comprendre pourquoi, mes parents criés, se fut plus tard que ma vision de voir les choses devenaient assez vite ...sombre. Ayant une vie peut équilibrer, je dus faire le nécessaire pour garder mon innocence, mais hélas, je la perdis assez vite. Quand je fus en âge de sortir seule, vers mes 8 ans, je passais mes journées dehors. Oui bon comme toute enfant, je faisais souvent des bêtises. Vous savez ce que c'est, vers l'adolescence aussi, je m'amusais à flirter, m’est dévoilés de plus en plus mes côtés sombres de ma personnalité.

Vers mes 15 ans, je devenus une peste, mais une vraie peste. Visage d'ange, mais un caractère de démon. Je me formais jour après jour un mur de glace face à mes parents. Ce qu'ils me disaient me passer en travers, même si cela me blessait, l'aspect de mon visage restait insensible. À force d'attendre la même chose, on s'en lasse et on laisse couler, comme on dit si bien. Les flirts devenaient de plus en plus inexistants, rare ceux qui osaient m'approcher. Je devenais la meilleure amie de petites pimbêches comme « pas », sans le vouloir en plus. Et me détailla des choses de leur vie, qui faisait l'a un des potins du voisinage le lendemain. Oui bon, plus d'une fois on n'a essayé de me le faire payer, mais j'adorais prendre la fuite. Je me prenais déjà assez de tartes de mon père et de ma mère. Je n'allais pas me laisser faire encore une fois, alors quand je ne pouvais prendre la fuite, je me batte comme tout petit mec en pleine bataille. Ce fut vers mes 16 ans que je le rencontrais, lui. Jason, celui qui allait me voler mon coeur. Nous étions dans la même classe, il me cherchait et moi je l'évitais, inversement. On se cherchait parfois mutuellement, les pics acerbes que je lui envoyais le faisaient rire plutôt que pleurer. Et moi ça me faisait sourire. Et quand c'était inversement, j'avais le don de me mettre en colère facilement. Il avait le don de me calmer assez vite. Il était toujours là dans les bons et mauvais moments. Nos sentiments évoluèrent au fil des âges. Inutile de dire que j'étais folle de rage quand il était avec une autre fille.

Bref, il a été aussi là pour mes études. Il me faisait bucher et suivre les courts. Oui même s'il était un enfant de bonne famille, celui-ci était très mature, quand il s'agissait du travail. Après hors du lycée c'était toute autre chose. Puis il essaya plusieurs fois de me courtiser, chose qu'il ratait à chaque fois. Oui, car j'avais le don de l'envoyer boulet même si mes sentiments étaient là. Je n'étais pas du genre à montrer mes sentiments et je le suis toujours. Bref, il trouva quand même une feinte. Monsieur, avait remarqué ma jalousie à travers mon regard. Et avait donc, fais un pari avec moi. Si je perdais, je devais passer la nuit avec lui, si je gagnais, il me laissait tranquille. Chose que j'acceptai, je n'avais rien à perdre de toute manière. À part ma virginité, qui aurait été perdue avec l'homme que j'aimais. Sur de moi je me vantais qu'il perde, mais par... je ne sais qu'elle stratagème, monsieur gagna. J'avalais mon extrait de naissance. Lui ! Qui avait réussi à me battre. C'était impossible. Bref, je passais la nuit avec lui. Ma plus belle nuit de toute ma vie. Nous continuâmes à nous voir et à sortir ensemble. Monsieur avait gagné, il me voulait et il avait réussi.

3 ans avaient passé à sa compagnie, toujours aussi fout amoureux l'un de l'autre. Enfin, vous savez ce que c'est. Qui n'a pas été amoureux en à crever une fois dans a vie. Bref, mes parents voyaient cette union d'un mauvais oeil, car mon cher père avait d'autres projets pour moi. Vous voyez le genre. Mais quand ils apprirent que les parents de mon compagnon étaient pleins aux as, la donne changea tout à coup. Il était le parfait parti. Et tout le tralala. Qu'on aurait une vie en or. Vous voyez le genre de personnage. Accros à l'argent. Mais la surprise fut grande, quand Jason me demanda en fiançailles pour la première fois. IL avait tous planifié, j'étais éblouie, mais aussi mortifier à l'idée qu'un mariage allé se dérouler plus tard. Nous finissions nos études, notre diplôme en poche, il me demanda à présent en mariage. Notre relation était vraiment fusionnelle, elle était parfaite. Certes comme tous couples il y arrivait d'y avoir des disputes, mais la réconciliation se faisait assez vite. Tout le monde voyait en nous le parfait petit couple et cela commencer à me faire peur sérieusement. Ça demande en mariage également, mes parents t’en qu'à eux commencèrent à faire pression sur mon avis sur la chose. Je commençais vraiment à péter un plomb.

Je pris le courage à deux mains et lui dit « oui » malgré mes angoisses, le mariage était prévu pour dans 3 mois. Je me demandais vraiment, qu'allé être ma vie avec lui. Tandis que les beaux-parents n'étaient pas d'accord sur la décision de leur fil. Lui faisant remarquer jour après jour, que je n'étais pas une fille pour lui. Qu'ils n'avaient pas dû l'envoyer dans ce lycée, etc... . Après tous ce n'était pas avec eux que j'allais vivre. Mais la pression que m'étaient mes parents, plus les beaux-parents, je commençais à voir de toutes les couleurs. Commença à entrée dans une dépression. Mon futur mari faisait le nécessaire pour me soutenir et me calmer. Mais les angoisses continuaient. Ce fut à un mois de mon mariage que je quittais la ville en bus.

J'aurais espérais qu'il aurait essayé de me retrouver et qu'il m'aurait suivie mes non. Je m'installai dans cette ville de Beverly Hills. J'utilisais le compte que j'avais créé, pour moi en qu'à de coup dur. Et que j'avais rempli avec les petits emplois que je faisais pendants l'été. Ce fut suffisant pour me trouver un petit appartement et reprendre les études. Je me suis dirigée dans les cours d'art, plus précisément l'illustration, dessinateur. Je pense toujours à lui et ne peux passer à autre chose avec les hommes à présent. Mon coeur est toujours pris et je m'en vœux énormément de l'avoir délaissé comme cela. Je l'avais appelée en arrivant dans cette ville, il m'avait suppliée de lui dire où j'étais, mais j'avais raccroché. Je m'étais excusée et maintenant je suppose qu'il est devenu directeur d'une bonne grosse boite. Il devrait avoir à présent 24 ans. Je ne l'oublierais jamais. Maintenant cela fait 1 an que je vis ici et que je continue mes études, dans cette université, où je m'amuse avec les personnes qui m'horripilent. " Je suis toujours fiancée" et j'espère que le passé ne me rattrapera pas.