prénoms & nom → Bélial, une excentricité personnel puisqu'il paraitrai que je me soit mis à rire lorsque ma mère n'ayant pas d'idée pour me nommer, me lisait un livre de prénom. L'origine met inconnue, je trouve que cela a une vague connotation infernale. C'est pas pour me déplaire plus que ça. Helmer était le prénom du marie de ma grand-mère, le deuxième, qui était donc mon beau-grand père. Enfin Truelove et bien... On ne choisi pas son nom de famille entendons nous bien.
date de naissance & âge → Née en début d'année 92, en janvier pour les curieux maladifs, j'ai atteins récemment les 19 piges. J'aime mon âge et les responsabilité qu'il implique. Le fait d'être bientôt un adulte me fait rêver, l'université déjà et bientôt un métier, une vrais situation social. Certain se dise que 19 ans c'est parfait pour faire les fous et s'amuser. Moi je pense que c'est le moment parfait pour arrêter les conneries et se poser. Réfléchir à son avenir - bien que personnellement je l'ai déjà largement fait - pour pouvoir se construire une vie, une culture, un bon futur. On me dit souvent que j'ai plutôt 40 ans dans ma tête. Peut-être que c'est vrais.
famille & origine → Je suis de son qu'on appel l'aristocratie de Louisiane. J'ai toujours vécu dans des endroits chauds, bien que je préfère le climat de la Louisiane à celui de la Californie, trop séc. J'ai déménagé ici lorsque ma grand-mère n'a plus supporter l'humidité des marécages et du bayou, j'avoue qu'abandonner notre super demeure familiale m'avait fait un peu mal au coeur. Nous sommes une famille d'intellectuel aussi ais-je évoluer depuis mon plus jeune âge dans une atmosphère studieuse où les livres et la culture, l'art également, était omniprésent.
étude & job → Je suis étudiant en psychologie, premier année, premier de la classe. Ou bien seconde les rares fois où je n'était pas trop dans mon assiette. Je suis pas ce qu'on appel un rat de bibliothèque mais plutôt un ambitieux. Le genre qui fait la fête seulement une fois les résultat annoncés et qui compte bien avoir une bonne place dans la société. Mon rêve c'est de devenir un musicien de jazz reconnue, je pratique la basse, la guitare et le saxo depuis l'âge de 8, 9 et 10 ans. Je suis mordu, amoureux fou de cette musique. Mais conscient qu'il n'est pas nécessairement facile de percer la dedans et aussi très intéressé par la psychologie humaine j'ai donc choisie d'aller à la fac pour l'étudier. Et puis je suis tellement doué que je peux bien faire les deux à la fois.
groupe → Let me geek. Non je n'aime pas WOW ni les jeux vidéos et encore moins tout ce qui touche de près ou de loin à l'informatique. J'aime les livres et le papier, les plumes et l'encre et les heures de révisions dans le silence feutré des bibliothèque. Oh vous pouvez me considérer comme un idiot frigide qui passe plus de temps le nez dans ses textes et ses manuels qu'à vivre, qu'à vraiment vivre. mais quand à 25 ou 30 ans vous vous réveillerez à cause d'un appartement prit par le huissiers ou à l'hôpital pour un énième coma éthylique. Moi j'aurai mon loft dont je serais propriétaire, des clients charmants et un groupe de jazz reconnu dans le milieu qui serait demander partout pour des galas de promotions du derniers livres de Cioran. Je serais quelqu'un et vous ne serez rien. Vous serez un rien alcoolisé, dopé à mort par vos merdes chimiques ou pseudo-naturelle comme la ganja. Je serai important, apprécié et fiable comme tout adulte doit l'être pour enfin sortir le monde de sa merde actuelle. Mais je ne serais pas informaticien. Je déteste les films comme matrix et l'idée d'une ligne de code binaire me file des sueurs froides.
caractère → Je déteste les lèves-tard et les gens perpétuellement en retard. Je suis ponctuelle voir en avance de facilement 5 min pour ne pas faire attendre la personne avec qui j'ai rendez-vous. Je ne me drogue pas et je bois un peu trop très rarement sinon un verre de vin avec grand-mère lors des repas du dimanche soir. Si je n'ai pas d'examen le lendemain cela va de soi. De toute façon je ne tiens pas l'alcool. On m'a toujours apprit que la famille et l'élévation sociale étaient des moteurs primordiale dans la vie. Que l'on pouvait vouloir changer le monde ou tout du moins l'améliorer, y laisser son empreinte et tenter un mieux. Mais que pour cela la débauche, la paresse et encore pire l'inertie des parlottes au café du coin était fondamentalement inutile. La philosophie de comptoir en se bourrant la gueule à la bière c'est bon pour les indigents et les sous-fifres qui ramasseront mes poubelles devant ma villa au bord de mer. Je suis un connard prétentieux et j'aime ça, j'ai de quoi l'être. Les filles je les traite avec respect, je couche avec celles qui me plaises sincèrement et ce au bout d'au moins trois ou quatre rendez-vous. Je n'hésite pas à aider une grand-mère en difficulté pour traverser la route, enfin, seulement s'il y a des gens pour voir ma bonne action. Car oui je suis calculateur et hypocrite, j'ai un totale contrôle sur moi-même bien que je ne puisse réfréner une attention et un désir de protection naturel pour les gens auxquels je tiens. Disons que lorsque je m'attache à quelqu'un je peux utiliser mon immense panel d'ingéniosité à autre chose qu'à mon profit personnel. Cependant le cas est rare et j'ai souvent mieux à faire que m'inquiéter du sort de tout les lambdas, ingrats souvent du surcroit, qui passe par là. Exception faite avec Pierre-François, mais c'est une exception très contrariante.
relations → J'ai de très bon amis si c'est ce que vous demandez. Ils ont en général tendance à pas mal me chambrer sur ma rigidité moral et mon sens un peu trop aigu - selon eux je précise - des choses à ne pas faire. Mais ils restent des personnes censés qui ne versent pas à outrance dans les excès, et puis je conçois totalement que tout le monde ne puisse pas s'imposer la même hygiène de vie que moi. J'ai également eu diverses petite amies, toutes intelligentes, plus ou moins ambitieuses mais avec qui il était intéressant de discuter. Malheureusement pas assez constructif puisque j'ai toute fini par les larguer. Il m'arrive aussi de coucher avec des garçons, mais cela reste occasionnel et vous vous en doutez ne peux pas être sérieux. Effectivement qui irai penser que l'on puisse entretenir une relation d'amour passionnel avec quelqu'un du même sexe ? Enfin si cela est possible, tout à fait possible. Mais pas sur le long terme. Une relation homosexuel serait obligatoirement vouée à un échec social et familial cuisant. Ceci n'est donc pas recommandé. J'ai envie d'une femme et d'avoir avec elle des enfants, c'est pourquoi je suis sérieux en relation amoureuse avec les femmes et volage - quand l'occasion se présente, ce qui, je le re-précise, est extrêmement rare - avec les hommes. Enfin voyez-vous ma famille, et plus particulièrement ma grand-mère et ma mère compte tout particulièrement pour moi. Je n'aurai cesse de ne jamais, jamais les décevoir ou leur causer du tord. C'est étrange qu'en disant cela l'image de Pierre-François s'impose à mon esprit. Ça doit être l'idée de déception des parents qui me fait penser à lui. Oui sûrement, ses pauvres parents...

Depuis quand êtes vous à BH et pourquoi y êtes vous ? → Je suis arrivé ici il y a environ 10 ans, lorsque ma grand-mère pour des problèmes respiratoire à voulu déménager loin de notre bayou originel. Je suis resté ici car il n'ai pas dans mon éducation de me rebeller contre les décisions prise par la matriarche de ma famille et que de toute manière je me suis parfaitement accommodé de la vie ici. Peut-être partirai-je un peu plus dans le nord, vers New-York histoire de croqué la grosse pomme avec mon ambition et mon saxo. Mais cela tient plus du fantasme que de la réalité. En plus Beverly Hills est pleine de jolie fille intelligentes, il me faut donc d'abord trouver ma femme.
Quel est votre rêve le plus fou ? → Mon rêve le plus fou, si je met de côté la raison la logique et l'entendement, serais de vivre du Jazz. Partir sur les routes pour rentrer le publique, échanger avec des anciens du métier et offrir du rêve et du plaisir au amateurs de cette musique. Mais comme vous le dite très bien c'est un rêve de fou, totalement fou. Et qui ne se réalisera jamais.
Quel est votre plus grande peur ? → Échouer. Me retrouver sous les ponts ou à quémander dans des associations d'entre-aide de quoi vivre est une peur viscérale qui me fait me lever à 7H30 tout les matins. Je ne peux pas supporter l'idée de ne pas subvenir à mes besoins et plus tard à ceux de ma famille. J'avoue que l'idée la honte, la dégout ou la déception dans le regard de ma grand-mère et de ma mère est aussi une angoisse particulièrement récurante chez moi.
Quel est votre moyen de communication préféré ? → N'étant vraiment pas un adepte des nouvelles technologies je ne vais sûrement pas vous répondre les mails ou les sms. J'ai d'ailleurs un portable mais pas pure sens pratique, histoire d'être joignable pour mes rendez-vous. Mais je suis personnellement un fervent défenseur des lettres. Des vrais belle lettres manuscrite, des encres de qualités, des plumes d'oie finement taillées et du papiers au grain qui glisse délicieusement sous la pulpe des doigts. La parole se perd bien que je apprécie comme tout à chacun une bonne discussion ou un constructif débat. Mais les lettres sont un moyen si beau de ne pas oublier les mots, de les choisir avec soins, de les embellir et finalement de les conserver précieusement après une exaltante correspondance.

pseudo → Lipstick for boy ∆
âge → 18
avatar → César Casier
activité → Autant que possible, plus la semaine que le week-end
PV/scénario ou inventé → Inventé
autres → Ne prenez pas peur de mon abrutie de compatriote - que vous pouvez tout à fait surnommé pierrot - il lui manque une case mais on verra avec. Ah oui, je déssape pour quelque dollars si jamais --> (aaa)

Et je voudrais qu'on m'enterre dans un tombeau d'or blanc cintré de centaines de rangées de diamant. J'aurais voulu avoir la vie d'un enfant, vivre de caprice en tout temps. Sérieusement ? Non, j'aurai voulu c'est vrais, parfois la nuit quand la nostalgie me prend. Mais la plupart du temps de ma situation j'en suis bien content. Il faut dire que je mène une vie pour le moins agréable. J'ai une mère et une grand-mère présente qui veille toujours à ce que je soit bien habillé, bien coiffé, que je fréquente les bonne personnes et les bons endroits. Autant d'attention est, l'on ne peux le réfuter, fort agréable. Ceci m'a d'ailleurs toujours permis d'être dans l'élite des élèves de mes établissement, de nourrir des rêves probant de gloire, d'utilité dans la société. Je ne veux pas, jamais, être un boulet. J'ai, grâce à mes amis, de l'affection, des partis de rigolades et parfois des "délires", comme on dit, qui me permettent par exemple de décompresser avant un important examen. ET L'AMOUR PUTAIN DANS TOUT ÇA ? Excusez moi, je n'ai pas bien compris. Quelle importance ? L'amour, un fait révolu, une idée née de la pensée bohème et décadente. L'amour ça n'aide pas le monde et pire, ça ne permet pas d'être socialement reconnu. L'amour c'est inutile, ça pollue l'esprit et peux vous faire tout foutre en l'air pour un sourire. Ma mère a aimé mon père, ce romanichel dissimulé sous un costume Armani et des yeux verts de serpents bonimenteur. Et c'est exactement ce qu'il était. Un beau menteur. Un voleur, un fuyard incapable de sérieux. Il vous promettait la lune et oublier sa promesse la seconde d'après. Je ne veux pas être comme ça. On m'a appris depuis la naissance à ne pas être comme ça. Et j'ai compris tout seul que l'amour avec un grand A était responsable de ce genre de comportement. Que c'est un risque trop grand. Alors moi j'apprécie les gens, je les aime d'une amitié sincère et pleine, je fais tournoyer les filles et les embrasse sur les lèvres avec tendresse. Mais comme la main glacial de ma mère qui refermait la porte de ma chambre le soir sans se demander si j'avais peur du noir. Je ne me dis jamais que je pourrais me consumer d'amour et braver mille tourments pour cela. Jamais.

Je me ment, consciencieusement je m'applique à mener un vie d'ascète des sentiments. C'est plus simple de dire avec un sourire polie " je t'aime bien " " je t'aime beaucoup ". Que de murmurer dans l'intimité d'une nuit un " je t'aime " avec les yeux. De toute façon je ne suis jamais tombé amoureux et je ne vois pas pourquoi maintenant que je suis débordé de travail pourquoi cela m'arriverai. Déjà que l'université vient de me coller dans les pattes Pierre-françois, ce cas social profondément idiot, pour une histoire de soutient scolaire entre lycéen et étudiant. Je vous jure que cette nouvelle de m'a pas ravie. En plus ce petit con - désolé du vocabulaire - n'est absolument jamais à l'heure et n'écoute pas la moitié de ce que je me tue à lui expliquer. Peut-être veux-t-il essayer de vérifier l'adage de Prévert ? Si quelqu'un se tue à vous dire quelque chose, laissait le mourir. Quoique non, je doute qu'il connaisse le moindre poète français. Idiot comme il l'est. Non vraiment ce jeune homme me révolte ! Dire que l'on a été ami lors de sa première seconde. Maintenant de toute façon avec la vie de gosse puéril et irresponsable qu'il mène...