«- Bonjour Beverly Hill il est 8 heure et vous vous réveillez avec Beverly Hill Radio. Bon courage à ceux qui vont en cour ou qui partent travaille. Dans un instant je vous passerais le dernier David Guetta et Rhianna. » C’est comme ça que tout les matins je me réveiller avec la même voix de l’animateur. Et comme tout le matin le réveil fut dure heureusement que je ne commencer pas trop tôt sinon je ne sais pas si j’aurais réussit à me lever. Combien de fois ai-je eu envie de dire :«Oh c'est pas grave je reste au lit ce matin» mais c'était contraire à l'image que je voulais donner de moi à mes parents. Contrairement aux autres étudiant ce n’étais pas à cause d’avoir fait la fête toute la nuit non non c’est surtout d’avoir passé des heures sur Facebook pour me tenir au courant des derniers potins. Bref je m’égare, avec un ultime effort je me levai pour me préparer pour une nouvelle journée de cour. Après avoir passé une bonne heure à me préparer, savoir quoi mettre c’est difficile quand on est une fille de riche et qu’on a un placard énorme et qu’on final on ne sait jamais quoi mettre. Une fois habiller je pris mes affaire et partit à la fac.

Pour moi les jours, les semaines se ressemblés ma vie étais assez monotone, cela se résumer à aller en cours, passer un peu de temps aves les gens qui savaient que j'exister et rentrer chez moi passer des heures devant l'ordinateur pour regarder les nouveauté sur Facebook et mettre à jour mon profil au cas où quelqu'un le lise. Heureusement les cours que je suis à la Fac sont assez intéressant -enfin pour moi- du coup c'est loin d'être une corvée d'aller au campus pour suivre des cours de psychologie. Si pour les élèves j'étais invisible pour les professeurs c'étaient la même chose. Parfois je me disais que si partais sans rien dire, personne remarquerais mon absence. Puis je me rappel que mon frangin et quelque personne sans rendrais compte, ils s'inquièteraient de ne pas avoir de mes nouvelles. Bref les cours passaient sans que je me rende compte, aujourd'hui j'étais pas très attentive je préférais dessiner sur une feuille et rester dans ma bulle. Aucun enseignent ne remarqua que j'étais "ailleurs" et tant mieux.

Il était prêt de 15h quand je fus libre de faire ce que je voulais. Pour les autres c’étaient la libération mais moi je ne savais pas quoi faire ni quoi faire. Alors je décidai de me mettre un peu à l’ombre et de profiter du calme du campus. Quel autre endroit que les jardins serait parfait pour cette tâche ? Aucun. Je me mit les écouteurs et m'installai sur l'herbe puis sans avoir pourquoi je commençai à regarder les photos que j'avais dans mon Blacberry. Je tombai sur une de Leandro. Un ami d'enfance nos parents nous avaient mit dans la même école maternelle puis primaire ... Ce fut l'un des seul qui savaient que j'existais. Comme tout le monde je savais comment ce cher Leandro a évolué, mais quand il est avec moi il redevient le gentil garçon qu'il était autrefois, je n'ai jamais comprit pourquoi il avait changé en ce "bad boy". Pour moi il était un de mes amis proche en qui j'avais une confiance aveugle, pourtant c'est temps ci on ne se voyait pas beaucoup. Ce n'est qu'en voyant sa photo que j'eu un pincement au coeur et que je compris qu'il me manquer.

Comme toute la journée j'étais dans la lune et avec la musique dans les oreilles ça n'aide pas à entendre les personnes approcher. Alors quand une voix se fit entendre je sursautais «AHHHH!!!!» et par réflexe je mis ma main sur le coeur. Moi qui penser être seul c'était louper mais quand je vit la personne en face de moi un grand sourire se dessina sur mes lèvres. A croire que c'était le destin qui nous réunissait. J’étais heureuse de le voir mais surtout que ce soit lui qui vienne me voir alors qu'il pourrait être avec ses amis.
«Tu m'a fait peur id*ot. il faut bien que je commence à bronzer pour cet été. Je peut te retourner la question Mon cher Leandro ». Ca présence me fit chaud au coeur. Je continuais de lui sourire, ravie de pouvoir passer du temps seule à lui. Surtout que je voyais qu'il avait l'aire heureux.

Mine de rien, j'étais content de la voir, à chaque fois que je croisais sa petite bouille, ça me rapellé à quel point mes sentiments étaient forts. J'aimais être avec elle, son petit sourire me faisait tout oublié, même la drogue, c'est vous dire à quel point elle était importante. Voilà c'était ça, elle occupait une place immense dans ma vie et même si je faisais tout pour qu'elle en sorte un peu, c'était impossible. Depuis tout petit, je ne vois que par elle mais comme je n'en parle pas, je suis le seul au courant. De toute façon, si quelqu'un l'apprenait, je m'énerverais et ferais tout pour lui prouver le contraire. C'est un fait, je suis un vrai connard et ce avec tout le monde, même avec elle des fois j'ai l'impression de mal me comporter. Je crois que Jana ne se rends pas compte à quel point c'est dur pour moi de faire autant d'effort, surtout pour rien, si au moins elle était au courant ça changerais quelque chose. Bref, je m'égare, on est pas là pour parler de ça, j'étais content de la voir et je n'allais pas passer cette chance inouïe de rester un peu en sa compagnie. Je n'avais pas remarqué qu'elle avait les écouteurs dans les oreilles, en fait, je parlais un peu dans le vide quoi. C'était ce genre de chose qui me fait démarrer au quart de tour et me rend plutôt désagréable, du genre : Vas-y dis le si je te fais chier. Prends sur toi Leandro, n'oublie que tu es fou amoureux de cette fille, à toi de la traîter avec respect et admiration. Voilà, c'était mon grand problème, je devais faire énormément d'effort et je ne suis qu'un petit con incapable de se tenir à carreaux plus de dix minutes.

C'est dans un cri strident et assez flippant que Jana sursauta, je lui avais fait si peur que ça, j'avais une tête si horrible? Je ne pu m'empêcher de lui sourire, elle était tellement unique et mignonne. C'est avec une grande répartie que la belle brune me répondit «Tu m'a fait peur idiot. il faut bien que je commence à bronzer pour cet été. Je peut te retourner la question Mon cher Leandro » Je pris une voix assez sérieuse et lui répondit « Tu fais bien de t'y prendre tôt, tu es quand même blanche. » Je lui fis un clin d'oeil et lui caressa la joue. « Mais je te rassure tu es belle quand même. » répliquai-je. J'aimais particulièrement la taquiner, je la trouvais particulièrement sexy quand elle rougissait ou qu'elle était gênée. Je pris une nouvelle cigarette que j'allumais calmement, et oui en ce moment je fumais énormément et comme en plus je n'avais pas eu ma dose de drogue aujourd'hui, il fallait que je fume, c'était une question de survie. Parce que quand je suis en manque je commence à devenir violent et je n'ai aucune envie de lever la main sur Jana, encore les autres je m'en foutais mais pas elle. Je jetais un petit coup d'oeil sur les environs, il y avait beaucoup d'étudiants qui venaient profiter des petits rayons de soleil entre les cours.

C'était vraiment agréable d'être assis dans l'herbe et en plus en compagnie de Jana, il avait longtemps que je n'avais pas prit de pause pour me retrouver un peu. Tu parles, du blabla pour rien, j'étais malheureux et j'avais une vie de merdre, pas besoin d'être un génie pour comprendre ça. Je reportais mon attention sur Jana qui ne semblait pas trop apprécier la petite remarque. « Et sinon, tu as quelque chose de prévue pour cette après-midi? » lui demandais-je, une petite ocasion de passer un peu de temps avec elle.

Si pour tout le monde Leandro était le mec à éviter dans les couloirs ou alors celui qui sait où trouver de super fête, pour moi ce n’est pas cet homme là que je voyais. Pour moi avoir peur de lui ne me venais même pas à l'esprit. il était si gentil et attentionné que je ne comprenais pas pourquoi il n'était pas comme ça avec les autres et pourquoi il n'avais pas changer de comportement à mon égard comme il l'avais fait avec les autres. Je ne m’en plains pas bien au contraire. Quand on passe pratiquement toute sa vie avec une personne avec que l'apprécie des liens fort se tissent et on apprend à ce connaitre par coeur même si on ne dit rien on sait ce que ce que l'autre veut dire. C'est le cas pour Leandro et moi. Pourtant jamais je ne l'imager autrement qu'un ami. Les circonstances ne se sont jamais présenter pour que j'ose l'imaginer autrement. Bien sur je savais qu'il était assez mignon et que j'aimer passer du temps avec lui tout comme avec James ou Mathew. De toute façon il y avait une grosse séparation entre nous, les amis. Leandro et moi venons du même milieu mais on avait prit des voix toute à fait différentes tous les deux. Moi j'étais devenue invisible et lui était devenu un mec à éviter. Et pourtant cela ne nous avaient pas séparé. Combien de fois je l'apercevais dans les couloirs de la fac mais je n'osais jamais aller le voir, il était toujours encadré de ses amis. Ah force je me demander si lui pensait toujours à moi, ou s'il m'avait oublié. C'est pour ça que le voir aujourd'hui me fit super plaisir et je n'allais pas perdre une seconde du temps que j'avais en sa compagnie. Sachant qu'aujourd'hui j'étais dans ma bulle toute la journée et que personne ne m'avais déranger quand on revient à la réalité ça surprend toujours. Mais ce n'étais pas vraiment de sa faute.

Leandro et moi adorions nous charrier sur tout et n'importe quoi, et ça depuis toujours. Pourtant même en sachant ça il m'arriver de croire ce qu'il disait était vrai. Et certaine chose me toucher plus que d'autre. Cependant quand il me dit « Tu fais bien de t'y prendre tôt, tu es quand même blanche. » je savais qu'il continuer à me charrier alors je lui tira la langue et fit mine de bouder. Pourtant il redevient sérieux assez rapidement et me caressa a joue en me disant: « Mais je te rassure tu es belle quand même. » je ne pu m'empêcher de rougir et de le regarder dans le fond des yeux pour savoir s'il était vraiment sincère ou s'il y avais les traces d'humour. Il était sincère et sans savoir pourquoi mon coeur eu un raté à cette révélation. Et je sourie de plus belle.« J'espère bien que je suis toujours belle sinon je ne pourrais pas être aperçut en ta compagnie je ruinerais ta réputation. » Cette fois ci ce fut à mon tour de le taquiner. Bien sur que je savais que mon ami fumait mais pourtant je n'aimais pas ça. Alors quand il alluma sa cigarette devant moi je ne pu que m'empêcher d'arreter de sourire et je du me retenir de lui faire un sermon mais je n’étais pas sa mère, et je ne voulais pas me disputer avec lui aujourd'hui alors je préférai me taire et lui faire un petit sourire.

Contrairement à Leandro je n'avais pas changé subitement j'étais resté la même fille que tout le monde connaissait, la fille timide qui ne dit rien quoique qu'on lui dise ou fasse. Mais qui ne faut pas toucher à cause de son frère. Mais je n'avais pas une intéressante et je m'ennuyer la plupart du temps. Alors quand Leandro me demanda si j'avais quelque chose de prévue aujourd'hui je ne pu m'empêcher de rire. Il est vrai que n'importe quel étudiant aurait prévue un truc mais pas moi. Alors je le regarda droit dans les yeux en m'avançant un peu vers lui et lui dit: « Cette question n'a-t-elle pas un double sens? Voudrais-tu me proposer de passer le reste de la journée avec toi? » lui demande-ai-je en le regardant droit dans les yeux tout en lui faisant mon plus beau sourire avant de me servir de lui comme dossier, étant coller contre son torse je tournais la tête pour que je puisse le voir tout en continuant de sourire. Autour de nous tout le monde aurais pu penser que nous sortions ensemble.